frère et pour vous confier, je pense, la mission que vous offrez si généreusement de remplir.
Quant aux détails de l’enterrement, j’ignore ce qu’elle en pense. Je la connais fort peu ; mais je vous remercie, moi, pour mon compte, de la suprême convenance de votre intervention.
Vous avez fait respecter le vœu qu’il eût exprimé, lui, s’il eût pu vous adresser ses dernières paroles.
Merci, encore, monsieur, et bien à vous.
DLV
À M. BERTON PÈRE, À PARIS
Voulez-vous vous charger de négocier avec M. Harmant[1] la reprise de Villemer pour le 15 septembre prochain ? M. de la Rounat m’écrit que vous consentez à nous assurer cette reprise, car, sans vous, que serait-elle ? Il n’y aurait pas à y attacher la moindre importance. Si donc vous ne nous abandonnez pas, et je vous en remercie bien sérieusement, il faut que nous obtenions de M. Harmant qu’il vous laisse avec nous le
- ↑ Directeur des théâtres du Vaudeville et de la Gaieté.