le peut, le sujet est immense. Je t’embrasse, dirai-je encore, mon vieux troubadour, quand tu es résolu à tourner au vieux bénédictin ? Alors, moi, je reste troubadour, il n’y pas à dire.
Je t’envoie deux romans pour ta collection de moi ; tu n’es pas obligé de les lire en ce moment si tu es plongé dans le sérieux.
DCCCLXXIX
AU MÊME
Maurice est tout heureux et très fier de la lettre que tu lui as écrite ; il n’y a personne qui puisse lui faire autant de plaisir et dont l’encouragement compte plus pour lui. Je t’en remercie aussi, moi ; car je pense comme lui.
Comment ! tu as fini Saint Antoine ? Eh bien, faut-il s’occuper de l’éditeur, puisque tu ne t’en occupes pas ? Tu ne peux pas garder cela en portefeuille. Tu ne veux pas de Lévy, mais il y en a d’autres ; dis un mot, et j’agirai comme pour moi.
Tu me promets d’être guéri plus tard ; mais, en attendant, tu ne veux rien faire pour te secouer. Viens donc me lire Saint Antoine, et nous parlerons de la publication. Qu’est-ce que c’est que de venir de Croisset