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LES
MAÏOLIQUES FLORENTINES
I
Quand on arrive de Rome, au milieu d’une chaîne de montagnes dont, pendant cinq ou six journées de marche, on a suivi de près l’échine formidable, escaladant et redescendant sans cesse les groupes moins escarpés qui se rattachent comme des côtes à une colonne vertébrale gigantesque, on découvre tout à coup, sous ses