Page:Sand - Lélia, édition Dupuy-Tenré, 1833, tome 1.djvu/142

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Et puis nous en cherchons une autre ! car il nous faut aimer, et nous nous trompons encore souvent, jusqu’au jour où, désabusés, éclairés, purifiés, nous abandonnons l’espoir d’une affection durable sur la terre, et nous élevons vers Dieu l’hommage enthousiaste et pur que nous n’aurions jamais dû adresser qu’à lui.