Page:Sand - Lélia, édition Dupuy-Tenré, 1833, tome 1.djvu/143

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XIX



Ne m’écrivez pas, Lélia ; pourquoi m’écrivez-vous ? J’étais heureux, et voilà que vous me rejetez dans les anxiétés dont j’étais sorti un instant ! Cette heure de silence auprès de vous m’avait révélé tant d’ineffables voluptés ! Déjà, Lélia, vous vous repentez de me les avoir fait connaître. Et que craignez-vous donc de mon avide impatience ? Vous