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l’ambitieuse et impuissante créature, trouvant son cœur moins ardent que son cerveau, et ses facultés au-dessous de ses rêves, se découragea encore une fois de la vie : sa main retomba morte à son côté ; elle regarda la lune avec tristesse, elle respira la brise avec un gonflement de narines qui avait quelque chose de sauvage ; puis portant sa main à son cœur et respirant du fond de la poitrine :
— Hélas ! dit-elle d’une voix irritée et le regard sombre, heureux ceux qui peuvent aimer !