Page:Sand - Lélia, édition Dupuy-Tenré, 1833, tome 1.djvu/239

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bien ! Ô cruelle et incurable ! écoutez cet oiseau, il chante mieux que vous, il chante le soleil, le printemps et l’amour. Ce petit être est donc mieux organisé que vous qui ne saviez chanter que la douleur et le doute.