Page:Sand - Lélia, édition Dupuy-Tenré, 1833, tome 2.djvu/100

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II



Pulchérie resta encore long-temps dans l’attitude pensive où elle était depuis le commencement du récit de Lélia. Toutes deux gardaient le silence. Enfin la courtisane prit la main de sa sœur, et lui dit :

— Je crois qu’une seule chose peut te sau-