m’accepte comme je suis et que vous ne m’acceptez pas… Il y a longtemps que je sais cela, monsieur Maxwell.
Est-ce un reproche ?
C’est une remarque… Voici ces dames. Je vous avertis qu’à présent ma pauvre tante ne voit pas très-bien et n’entend guère mieux.
Vous l’aiderez à me reconnaître.
Scène V
le bras au DOCTEUR et à HÉLÈNE ; BARTHEZ, CÉSAIRE et CASTEL, viennent ensuite et s’approchent du piano, où ils préparent des cahiers de musique. — JEANNE est entrée, venant de droite en même temps que la comtesse vient de gauche. Elle l’aide à s’asseoir sur son grand fauteuil, près de la table, au second
plan.Nous n’allons pas trop vite ?
Non, non, pas trop.
Soyez le bienvenu parmi nous !
Merci, cher monsieur. (Au docteur.) Cher confrère, je vous présente mon respect.