Pourquoi la Callithea Leprieuri, du fleuve des Amazones, est-elle un résumé de toutes les nuances du vert disposées en ondes, comme les reflets emportés et brouillés par les flots rapides ?
Pourquoi ces Héliconiens à ailes de gaze complètement diaphanes, l’Hetera piera par exemple, avec ces formes élégantes qui semblent chercher l’immatérialité ?
Pourquoi ces Leptocircus à ailes transparentes aussi, ces Erycines et ces Argus bleus à longues queues doubles ou quadruples imitant celles des Lyres, des Veuves et autres oiseaux des mêmes climats ?
Pourquoi et comment toutes choses ? Il n’y a que cela qui nous embarrasse !
Mais ce qui n’embarrasse ni toi ni moi, c’est de savoir si nous nous aimons. À cela point de doute, et que Dieu débrouille le reste.