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CHAPITRE VIII.

La Mère et la Fille.


Au milieu d’un bal, en contemplant au front des femmes ces fleurs plus belles que le printemps, ces plumes moelleuses et riches, ces turbans à aigrettes étincelantes ; en voyant palpiter sur leur sein les corsages lamés d’argent et la gaze frémissante, vous êtes-vous reporté par la pensée à ces boutiques en plein