Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/215

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tendresse de mademoiselle Primerose ; cependant elle versa quelques larmes sincères à l’idée de quitter tout à fait sa fille car l’amour maternel ne s’éteint jamais entièrement, même dans les âmes les plus viles. Enfin, il fut décidé qu’elle irait à l’hôtel de France lui faire ses adieux ; mais que l’entrevue aurait lieu en présence d’Horace, qui redoutait l’influence qu’exerçait cette femme sur la pauvre Rose. Sûr de ses droits, il reprit le chemin de l’auberge, après avoir vainement cherché Laorens dans tous les coins de la maison de plaisance du galant perruquier.