Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/46

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« — Oh ! oui, mais on s’y accoutume. C’est un devoir ; et puis on est sûre de faire son salut.

« — Est-elle niaise, avec son salut ! Comme cela, vous ferez des vœux à vingt-un ans ?

« — Si l’on veut m’admettre ; mais je crains bien qu’on ne veuille point de moi. On dit que je suis trop délicate. Je suis pourtant forte pour mon âge.

« — Certainement oui : vous l’êtes plus que moi. Pourquoi dit-on le contraire ?

« — C’est que je me trouve mal