Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/81

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

leurs claires et tranchantes, les manteaux espagnols à grands carreaux comme les plaids de l’écosse, les capuces pointues et les collets tailladés, les faces brunes, blêmes, olivâtres et avinées, les voix glapissantes, les shakos, les barettes et les sombréros ; toutes ces têtes, toutes ces étoffes, tous ces bruits, toutes ces volontés, se heurtaient, se pressaient, se confondaient comme les teintes variées d’une forêt d’automne agitée par le vent.