Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome II, 1831.djvu/25

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

des cours, des guichets, et il se trouva dans le faubourg… Incertain, il franchit une ruelle, longea plusieurs jardins, et vit un char-à-bancs qui partait rapidement vers la route du Nord. Sœur Olympie tenait les rênes, trois novices occupaient les siéges derrière elle, et une quatrième jeune fille qui s’appuyait sur l’épaule de sœur Blanche ressemblait tellement à Rose, la petite actrice, qu’il s’écria les bras pendans, l’air ébahi…

— Pour le coup, je suis ivre mort, car je vois un salmis d’anges et de diables danser pêle-mêle devant moi !