Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/103

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caressante à l’aide de laquelle elle savait embellir sa laideur. Vous ne partirez qu’à l’époque que nous avons fixée ; seulement permettez à mon amitié une mesure de prudence contre la calomnie. Mon frère arrive demain avec un de ses amis, que vous avez dû voir ici le même jour que Monseigneur. Allez passer le peu de jours qui vous séparent de votre voyage dans ma maison, à Nérac. Vous y serez aussi bien qu’ici. Vous serez servie par Mariette, une digne et excellente femme qui a nourri mon frère et moi, et qui vous soignera comme son enfant.

« — Vos désirs sont des ordres