Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/107

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cune espèce d’instruction chrétienne. Vous allez être à même de réparer le tort de vos parens ; mettez à profit la parole de Dieu, et soyez sûr qu’il n’est point de vertu méritoire devant le Seigneur, si elle n’a pour but de gagner le ciel. »

Il semblait à Rose, au contraire, que cet intérêt personnel en effaçait le mérite. Elle s’éloignait, triste et abattue, lorsque mademoiselle Cazalès la rappela.

« J’ai encore un mot à vous dire, un mot qui a besoin de toute votre délicatesse pour être pris en bonne part. Promettez-moi d’éviter mon frère, si vous le rencontrez à Nérac,