Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/136

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la messe, et dans son émotion elle fut forcée de s’asseoir ; mais c’étaient la communion et le Sanctus : Rose connaissait fort peu le rite. Enfin la quantité de monde qui défilait dans la rue lui annonça que la messe était dite. Cachée derrière le rideau de sa croisée, et regardant par la fente, elle vit entrer dans la maison mademoiselle Cazalès, à qui Lespinasse donnait le bras. Laorens marchait lentement derrière eux ; il tenait un livre d’église, et avec un crayon il faisait des moustaches aux figures des saintes représentées sur les estampes. Horace n’était point là.

Rose n’en fut pas fâchée. Elle