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Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/156

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rideaux et à barres fort espacées, vain simulacre des grilles qui servirent de texte à tant de vers pathétiques et de romances sentimentales, semblait vraiment n’être là que pour la forme. Néanmoins Mariette, qui n’avait rien vu de semblable, même au couvent du Sacré-Cœur à Bordeaux, s’écria que cela ressemblait aux loges du Jardin des Plantes, qu’elle avait vu la veille.

Une femme ensevelie sous un grand chapeau de sparterie malpropre vint leur parler de l’autre côté de la grille. Elle louchait de manière à ce que Rose et Mariette, placées à une certaine distance l’une de l’autre, pu-