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Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/229

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sœur Olympie ? elle nous laissera bien prendre notre première tasse, j’imagine, pendant que le thé est chaud. » Mais avaler une tasse de thé suivant la méthode anglaise n’est pas, comme vous l’imaginez peut-être en France, l’affaire d’un instant ; il faut au moins un quart d’heure de façons. C’est pourquoi sœur Olympie, qui n’était pas patiente de son naturel, et qui n’avait pas de temps à perdre, après avoir sonné en vain une seconde fois, demanda à la tourière où se tenait la supérieure à cette heure-là, et, sur ses indications, se dirigea hardiment jusqu’à la porte de l’ouvroir, qu’elle ouvrit sans frap-