Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/249

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une pleine et entière obéissance. »

« — Je ne comprends pas beaucoup toutes ces subtilités religieuses, reprit Olympie ; je confesse que je ne suis pas instruite, je n’ai pas le temps d’étudier les livres ; ma besogne est plus pressée que tout cela. Si je ne me trompe pas, vous voulez que la postulante soit douce et humble ; je ne l’ai pas trouvée une seule fois en défaut depuis que nous sommes parties de Bordeaux, car notre connaissance ne date pas de plus loin. Je crois que vous en serez contente, parce que j’ai vu toutes les dames du Sacré-Cœur pleurer en la quittant, et dire que leur commu-