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Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome V, 1831.djvu/176

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cette jeune fille qui nous fut confiée à Tarbes, et qui depuis, je crois, a été pensionnaire ici ?… N’est-ce pas cela ?…

— Précisément.

— Eh bien, ma petite, je te dirai cela ; je le saurai, je te le promets ; car, pour le moment, je n’en sais rien.

— Et comment le saurez-vous ?

— Est-ce qu’une sœur de charité ne peut pas tout savoir, tout entendre, aller partout ?…

— Eh bien ! vous chargeriez-vous de lui faire parvenir une lettre ?

— Certainement, donne !

— Oh ! mais écoutez, bonne sœur,