Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome V, 1831.djvu/187

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

précipité. Dans cette lettre Horace lui parlait de son amour pour Rose, qu’il avait retrouvée plus belle que jamais, et l’expression de ce nouvel amour lui avait paru si vraie et si chaleureuse, qu’en apprenant le mariage qui le couronnait si promptement, Laorens s’imagina de suite qu’Horace venait de s’unir avec Rose. Le vieux Mathias avait achevé de le convaincre, en lui parlant de la beauté, de la douceur de la fiancée, et du couvent des Augustines où elle avait été élevée. — Son premier mouvement fut de l’humeur contre Cazalès, qui en finissait avec les plaisirs, les folies et l’ivresse, et qui l’abandonnait tout seul dans le chemin,