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VANDERKE, à son fils.
C’est bien, mon fils ; vous avez compris que, pour obéir à l’honneur, vous n’aviez pas besoin de ma permission.
ALEXIS.
Ô mon père, ô mon meilleur ami !
SOPHIE.
Oh ! merci, mon père ! merci, Alexis !
ANTOINE, à Vanderke.
Mais, monsieur, ce mariage… Votre fils !… C’est impossible…
VANDERKE.
Antoine, c’est ma volonté, c’est le devoir de mon fils, c’est mon devoir et le tien.
ANTOINE.
Comment cela ?
MADAME VANDERKE.
Parce qu’ils s’aiment !
VANDERKE.
Et parce qu’il fallait le prévoir, si nous voulions l’empêcher.
FIN DU MARIAGE DE VICTORINE