Malédiction !
Eh bien, vous voyez !
Dame ! ça se peut bien !
Oh ! il est bien ridiquioule ! je entende lui chanter, je entende lui parlé dans le délirium de le maladie. Je voyais lui pleurer pour remercier moi… oh ! comme une fils ! Je aimé lui !… oh ! comme une fils. Je adopté lui pour le fils de moi ; ici est le notification. (Elle remet le papier à Sarah.) Oh ! je sais le malignity, je vois ! (Elle regarde Gérard et le duc.) Mais…
Mais il y a un moyen de vous en préserver, miss Melvil : c’est de faire un mariage convenable et sensé, qui n’empêchera pas vos sentiments maternels… un homme d’un âge assorti au vôtre, pouvant vous offrir un nom…
Bien difficile pour prononcer ! Je remercié vous, diouke ! Je moque le malignité, je donne, je rende le avenir à une vrai artiste ! et je ne prené pas son liberté, je laissé lui voyager. (Le duc remonte mécontent, Sarah remonte et redescend à gauche.) Je coultive le métaphysic, je n’étais pas signora italiana, je n’avé pas besoin un sigisbeo.
Ah ! oui, à la bonne heure ! l’excellente femme ! (Haut.) Signora, je ne sais comment vous exprimer…
Et moi, chère miss Melvil, je ne sais comment m’excuser…
Ma bonne sœur !