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il ne me prend pas cher, il n’écorche pas le monde, et j’ai le moyen.
Il ajoute à la somme restée sur la table.
Scène II
DUBUISSON, MARIE-JEANNE et HENRI.
MARIE-JEANNE, entrant, à Henri.
Oui, oui, tout le monde va bien ici ; mais, si vous venez pour déjeuner, c’est trop tôt.
HENRI.
J’attendrai.
Il prend un livre et s’assied près de la cheminée.
DUBUISSON, bas, à Marie-Jeanne.
Dis donc, ma payse, est-ce que c’est lui, le jeune comte ?
MARIE-JEANNE.
Oui, c’est M. Henri. (Sonnette.) Allons, v’là qu’on sonne encore ! c’est tous les jours une procession comme ça, ici.
Elle sort.
Scène III
DUBUISSON, HENRI.
DUBUISSON, à part.
J’aurais envie de l’accoster… Mais ces grands messieurs, on ne sait par où les prendre !… Bah ! j’irai au fait. Monsieur le comte !
HENRI, sans se lever.
Plaît-il, monsieur ?
DUBUISSON.
M. le comte de Trégenec n’a pas l’honneur de me connaître, mais…