Page:Sand - Tour de Percemont.djvu/358

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— Reste comme tu es, Marianne ! tu es, je le vois, de ces natures qui possèdent le vrai sans avoir besoin de démonstration, et dis-moi encore, puisque tu es en train de te révéler aujourd’hui…

— C’est assez, mon parrain. Je crains que votre mère, que j’ai quittée pour vous rejoindre, ne s’ennuie sans moi. Retournons auprès d’elle.