Page:Sand - Voyage en Auvergne, paru dans Le Figaro, 04 et 11 août 1888.djvu/53

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même toit, les mêmes plaisirs, la même table, les mêmes promenades et, par-dessus tout, le besoin qu’on a les uns des autres établissent de prompts rapports ; mais si les fadeurs s’en mêlent, adieu la joie ! Qu’une femme qui a le malheur de n’être pas coquette a souvent d’ennui d’être femme !


10 heures du soir. — Cet homme-là ne comprend rien, ne devine rien, il est fou. Il prend la douche ! C’est la glace qu’il lui faut. Allons ! encore un amoureux !