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lement connu, c’eſt la faute de MM. les journalistes de Paris, & non la mienne. Je réitère encore ici ce déſaveu ; je déſavoue pareillement un autre écrit intitulé lettre de M. le Comte de Sa *** à M. Bergaſſe. On me l’a attribué vraiſemblablement à cauſe de ces deux lettres, le Comte de Sa ***. L’Auteur dit que M. ſon grand-père étoit Chevalier de Saint-Louis ; le mien n’avoit pas l’honneur de l’être. &c. & c. Je déclare donc de rechef que cet écrit n’eſt pas de moi, & que je n’ai abſolument rien fait imprimer concernant les Etats Généraux, que ce qu’on a lû, & ce qu’on va lire dans cette eſpèce de collection.
QUESTIONS POLITIQUES
ET MILITAIRES,
PROPOSÉES
AUX ASSEMBLÉES,
Par un Membre de la Nobleſſe de celle de Meaux,
Premièrement ; Queſtions Politiques.
Seconde édition augmentée.
13 Mars 1789.
ON s’éclaire peu-à-peu des lumières répandues
dans cette multitude d’écrits, & dans les cahiers
