Page:Savinien Cyrano de Bergerac - La mort d'Agrippine - 1654.djvu/8

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
EPISTRE.

Au reſte elle ceſſera de deplorer ſes malheurs ; ſi par le tableau de ſa pitoyable avanture, elle vous donne au moins quelque eſtime de ſa conſtance, & moy ie me croiray trop bien recompenſé du preſent que ie luy fais de cette ſeconde vie, ſi n’eſtant plus que memoire, elle vous fait ſouvenir que ie ſuis,


MONSEIGNEUR,


Voſtre tres humble, tres obeyſſant, & tres paſſionné ſerviteur,
De Cyrano Bergerac.