Page:Say - Lettres à M. Malthus sur l’économie politique et la stagnation du commerce.djvu/188

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L.
Lauderdale (milord), donne une mauvaise définition des richesses, 154.
Luxe, n’est pas plus favorable aux productions que les dépenses reproductives, 77. Augmente les frais de production des produits, 105.
M.
Machines, ne sont que des outils compliqués, 130. Leurs inconvéniens se réduisent à un déplacement de revenus, 134. Augmentent le revenu des consommateurs sans diminuer celui des producteurs, 135. Réclament des débouchés, et en créent, 141. Circonstances qui mitigent leurs inconvéniens passagers, 145. Font plus de peur que de mal, 146. Exemple du métier à tricoter, 147.
Majorité des votes ; moyen de l’obtenir sans être obligé de la payer, 19.
Malthus (M.) croit que toutes les marchandises peuvent surabonder à-la-fois, 10. Accuse MM. Ricardo et Say de n’avoir pas égard aux besoins bornés des consommateurs, 20. Nie l’existence des produits immatériels (il n’y en a pas d’autres), 32. Soutient que les services personnels ne sont pas productifs, 38. Et que cette proposition est la pierre angulaire de l’ouvrage d’Adam Smith, 40. Croit que les hommes peuvent produire plus de choses qu’ils n’en peuvent consommer, 48. Et que la valeur des produits peut ne pas suffire pour payer le travail qui les a faits, 54. Que les profits sont diminues par le bon marché des produits, 58. Que l’indolence empêche de consommer