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Page:Say - Lettres à M. Malthus sur l’économie politique et la stagnation du commerce.djvu/192

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augmenter celle qu’elles ont déjà ; ce qui s’effectue en les rendant propres à un usage quelconque), 23.
Produit-net des terres, vain sujet de dispute, 126.
Produits (résultats des opérations productives) ; Ils surabondent partout selon M. de Sismondi, 10. Leur valeur suffit pour payer tous les services productifs quand elle est égale à ce qu’ils ont coûté, 28 et 54. Ils s’échangent entre eux, 29. Leur valeur n’est point la même chose que celle des services productifs ; au contraire elle est inverse, 57. La baisse de leur prix ne diminue pas les profits des producteurs, 59. Ils trouvent toujours des consommateurs, du moment qu’on peut les payer, 61. Qui dit produit, dit une chose qui a une valeur et une chose qui a une valeur est toujours une chose dont on a besoin, 62. Il n’est pas nécessaire qu’ils paient au delà de leurs frais pour que la production puisse se continuer, 69. L’impôt en rend le prix disproportionné avec l’utilité dont ils peuvent être, 93. Une partie des produits seulement est laissée à la disposition des producteurs, 97. Ils sont rendus plus chers par les progrès du luxe, 105. La moindre baisse dans leur prix en augmente rapidement le débit, 106. Pourquoi l’Amérique n’en fournit pas pour des retours avantageux, 112. Quels sont ceux que les États-Unis fournissent à l’Europe, 114. Et ceux qu’ils pourraient fournir, 115. Désordres que les mauvaises lois introduisent dans leurs quotités réciproques, 119. La moindre surabondance avilit beaucoup leur prix, 122. La surabondance de plusieurs d’entre eux a tenu à l’ignorance où l’on était des besoins, ibid. Immense quantité de nouveaux produits due aux progrès de