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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/101

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IK) LBS LILAS BLANCS CÉCILE, hii rendant le sien. Voici tes lilas. JULIA, après aroir eonttaté rabsenoe dn billet. Plus de poalet !... (▲ part.) Ahl la fine moncfae ! Je commence à comprendre... (nant.) Cécile, ta as tort den’ôtrepas franche avec moi ; il y avait autre chose avec ce bouquet. GÂGILE, décontenaneée. Autre chose ? JULIA. Un billet, probablement. CÉCILE, prenant le bJSlat resté sur la ehembée. Serait-ce ceci ? JULIA, aprbs avoir la. Précisément. As-tu parcouru ces pattes de mouehat CÉCILE, d’an air indifliSrent. Le hasard les a mises sous mes yeux, eU.. JULIA, ralllease. Le hasard ?... Ta as cru qu’elles étaient poor toi ? CÉCILE, très-embarrassée. Dame, en admettant que le bouquet m’appartenait, il fallait bien admettre, comme conséquence, qu’il en était de même du billet. JULIA. Pauvre innocente 1 par quelles transes tu as dû passer «i m’entendant monter ton escalier ? GÉGOA. J’en tremble encore. JUUA, aoorlanU Tu me prenais pour ïautre ! Ahl comte Maxime, vous qtn