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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/120

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VALENTIN

Un petit saloa Alégant, près an ptre MonoMu. ^ I87t f

SCÈNE I

LA COMTESSE, VALENTIN, «UtttttftDM

Taleotin est an grand garçon, fort élégant, la profil régulier, d’aapeet claiaiqiM, lag faToris longs et irréproehablement taillés ; l’air d’nn diplomate, n’était sa livrée qu’il porte fièrement : enlotto eonrte, bas blancs bien tirés, et faisant saillir des mollets nerreoz. — La comtesse fsniliette on livre. LA COMTESSE, à part.

Jamais cette lecture ne m*a causé une telle émotion 1 J’en suis vraiment troublée... Suis-je sotte ! (iYaientm.) Valentin, rapportez ce livre dans ma bibliothèque. (Vaientin s’approcbe.) Non, au fait, je le garde, (a part.) Ce garçon n’aurait qu’à examiner le titre, à réfléchir et à deviner ce déplorable secret. Ces gens-là sont fins comme des limiers de police I

— Allez,ValentinJe n’ai plus besoin de vous t (lUe reprend, aree i» SûQnir, la lecture de son livre. Tout àsoap un brait de cristal brisé la Csit légère* sent bondir.) Eh bieul quoi ? Qu’avez-vons fait, Val^tin ? III. 7