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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/121

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110 YÀLENTIN

YALBNTINy confos et on |wa ronge. Madame la comtesse me pardonnera... J’avais cru voir là an grain de poussière, je me suis approché... et... en soufflant. ... comme ça... ça s’est cassé ! LA COMTESSE, aree dépit.

Ohl ma jolie coupe de Venise ! Les ouvriers de Murano l’avaient fabriquée pour moi, lorsque nous avons visité... monsieur le comte et moi, (a part.) le comte était charmant alors ! (Haut). Un bijou, cette coupe ! A mes armes ! On >n’est pas plus maladroit que vous, Valentin ! Vous êtes insupportable !

vous cassez, vous brisez !... Une œuvre d’art ! un objet 

nniquel... Quel malheur !

VALENTIN, ramassant les éelats da yerre. Oh ! madame, il y a un Auvergnat, -- un voisin — le beau-frère de madame Ernoux, la charbonnière » qui raccommode ces choses-là si bien, si bien... que ça double leur valeur 1

LA COMTESSE.

Vous êtes un sot !... Ah ! ma pauvre jolie coupe !... Je suis agacée à an briser une seconde... si j’avais le pendant ! SCÈNE II

Les HÊMES, LE COMTE. U «st eorraetamwt rm, a laâerft.«M lawto, •ans affectation.

LE COMTE, la lorgnon à l’oU, rtgMdaot VakDtin. Eh bien ! auôi encore ?

LA COMTESSE.

Ne m’en pariez pas ! Ce Valentin... Mon souvenir de Ha* rano, vous savez bien ?