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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/122

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VALENT IN

lii

LB COMTE, flegmatiqaement.

Ahl oui ! la petite coupe ? Eh bien, mais, chère amie, c’est moderne ça ! ça peut se retrouver ! Ce que je reproche bien autrement à Yalentin, c’est ce vieux Delft de l’autre jour... Enfin, il ne le fait pas exprès. N’est-ce pas, Yalentin ? vous ne le faites pas exprès ?

VALENTINy ^ a acheré de ramasser les fragments. Comment, monsieur le comte pourrait-il croire ?... J’ai d’autant plus le respect des bibelots, que je suis amateur moi-même... J’ai commencé une petite réunion de faïences... Et je serais même bien heureux et bien flatté de descendre l’embryon de ma future collection, si monsieur le comte voulait me faire l’honneur de jeter un coup d’œil sur... LÀ COMTESSE.

Bienl bieni (ab eoMi«.) Vous allez souffrir que votre valet de chambre vous propose de visiter sa galerie, maintenant ? Le oomta se met à i

Allez, Yalentin !

LB COMTE.

TALJSNTIN.

Madame la comtesse veut-elle que Je porte ces débris à l’Auvergnat dont j’ai parlé à madame la comtesse ? LA COMTESSE.

Nonl non ! jetez cela, ou gardez-le pour votre... collection, puisque collection il y a. (se reprenant Tirement.) Mais UOU... non... jetez ce verre ! jetez-^le, vous m’entendez ! (a part.) Il n’aurait qu’à le conserver comme un souvenir ! ttaort.