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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/134

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VALBNTIN 123 mes !... Enormes !... Des pieds de géant I Ces bas blancs seuls... (yalentin poossa an eri.) QuOi enCOre ? ▼ALENTIN. Madame la comtesse me pardonnera... je n’ai aujourd’hui vraiment pas de chance... Ce drageoir... LÀ COMTESSE. Il est brisé ? TALEimN. Non, madame la comtesse^ mais en prenant la brochure ; j’ai poussé contre la glace... LA GOlfTBaBB. Elle est cassée, la glace ? YALENTIN. Non, madame la comtesse, la peur, voilà tout.. J’aurais été désolé ! Un des émaux du drageoir a seulement... Mais avec une pâte spéciale... TÂuvergnat... LA GOIITESSB. Bien, bien, casses, brisez, vous ôtes chez vous, ici, monsieur Yalentin ! monsieur le comte vous le permet I Mettez tout en miettes. Monsieur Yalentin I Seulement vous me ferez e plaisir de ne plus rien casser dans ce petit salon. Yous déléguerez vos pouvoirs à Fanny. Elle s^acguitte de ce soin à merveille. VALBNTIN. Madame la comtesse est indulgente... (on entend u toîx da eomte appelant Valentin.) G’OSt monsiOUr lO COmtO qui... (Répondant. ) Yoilà ! voilà I monsieur le comte ! La porte s’oarre et le oonte parait, eostnmé ea valet de eomédie da xtui* aie" «b. habil nise, edotla eoute, aoaiien A hamUB et bat fataaf*’