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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/166

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LES TENTATIONS D’ANTOINE 155 Tentation d’air, de verdure, Quand je suis à Paris l’étél Tentation d’avoir voîtore, Lorsque par terre il lait orottél Tentation de dinde gnsae Dans l’étalage éblouissant Joignant ses pattes avec grâea^ Comme pour prier le passant 1 Tentation d’ôtre ministre Ou colonel de cuirassiers : Parfois, tentation sinistre D’étrangler tons mes créandersl..» Enfln, un jonr dans ma c^rvelto Naquit, héiasi pour mon malbeor, Une tentation nouvelle Que Je maudis du fond da cœur ! «  GarQOir, )a^ roalùs prendre femone : L’affaire se fit pvofflptement ; J’étais alors tont fen, tool Oanunav Je brûlais oomae on vrai sament* Ma fiancée était iteabl»^ Mon beau-père semMall parfait^ Ma belle-mère^, sappoirtable : Je serais beureax tant à foiti Mais le lendemain da h* noea Par dn brusque r e f tiiMuaul , Ma femme me paroi atroce, Mon beau-père un toe^assMMQiaflV