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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/183

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172 LA DAMB DE NIORT LA DAMB DE NIORT. Et c’est deRubens ? LA DEMOISELLE. C’est au moins de Rubens. D’ailleurs, c’est signé. Tout ce 4ue nous vendons est signé. Madame comprend quelle occasion unique je lui offre. On ne pourrait plus se procurer, à quelque prix que ce fût, son portrait par Rubens. LA DAME DE NIORT. La tôte est jolie. LA DEMOISELLE. Adorable. LA DAME DE NIORT. Mais la toilette est un peu vieillotte. KUe i6 IèT«. LA DEMOISELLE. Bah I Les modes changent tous les jours, et c’est très-riche d’ajustement. LA DAME DE NIORT. C’est bien ce qui me tenterait. LA DEMOISELLE. Madame en sera très-satisfaite. Et puis, comme c’est un peu plus gras qu’elle, cela lui fera beaucoup d’usage. Madame veut-elle poser tout de suite ? LA DAME DE NIORT. Volontiers. LA DEMOISELLE. Je vais prévenir l’atelier. Ce sera un très-beau portrait. On ira vous l’essayer ce soir. (U marchande sonffle dans an port6-Toiz en eaoutchoœ qui eorreapond a ?eo l’atelier. — Un eonp de Bi£Qet Itd répond.) Envoyez prendre le portrait numéro 236 de madame de Maintenon.