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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/207

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«96 MONSIEUR GAHBREFORT LÉON| «TM une fansM doaeenr* Monsieur Gambrefort .. vous sortez de votre mandat, Je crois. * GAMBBSFORT. Qu’est-ce qu*il dt2, le petit douillet ? Rassurez-vous : pas de duel, pas de témoin, n’est-ce pas ? Tu comprendsl Hein ? pas de témoin» ergo... plus de mandat..» c’est donc l’homme privé qui vous parle. . LEON, redoublant de feioto doneanr Alors désormais c’est donc aussi à l’homme privé que je m’adresse ? CAMBRBFORTy légèrement. Sans l’ombre du plus léger doute... LÉON, t’Aranoant ; et d’une T(nx très-hante. Eh bien, papa Gambrefort... vous êtes un insolent. GAMBREFORT, bon de loi. Qu’est-ce qu’il dit ?... insolent !... LÉON.. In... 80... lent, papa Gambrefort. GAMBREFORT, luiroqaant. Mon col... j’étouffe. Tu vis encore ! LÉON. Â présent que nous nous sommes compris. .. Voyons... calmez-vous... et puis après... le grand air, mon brave... autrement, tout cela finirait mal... j’en ai peur. GAMBREFORT. Ah ! vous avez peur... et vous avez raison d’avoir peur. LÉON. Regardez-vous donc... il y a de quoi... le grand air, je le répète 1