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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/217

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MONSIEUR GAMBREFORT même où je sens que j’allais commencer à m’habituera YOUS. (ptrofitant de leur extrême émotion, il disparaît sar la pointe des pied» par u porte da fond.) Jo vais Chercher Mathilde et sa mère pour les faire jouir de ce tableau. Après cela, si ma fiancée n’est pas contente... nsort. SCÈNE VI. MADINIER, crojant parler ponr Léoa* Noble cœurl il a des appels irrésistibles ! GAMBREFORT, même Jea. Si Madinier ne m’avait pas adressé de ces insultes... qui retentissent... MADINIER. Si Cambrefort n’avait pas levé le masque 1 ce qu’on ignore ne fait pas de mal, mais après ces lâches calomnies .«. GAMBREFORT, se retournant. Quelles calomnies ? (DécouTrant u rose.) Ah ! c’est trop fort. MADINIER, môma jeiu Qu’est-ce qui est trop fort ? Us se retrouTent nei à neila main dans la main. GAMBREFORT. . Le conscrit s’est moqué de nous. Ce n’est pas la peine pour cela de nous tuer. MADINIER. Passe pour vous I mais moi je ne suis pas une girouette. GAMBREFORT. Comment I tu ne vois pas ?. ^