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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/233

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222 L’ÀLLIANGlEE

vatif, comme raigûillon du remords» r- Ah t mon Dieu, s’il allait se mettre à s’imaginer que c’est une grande passion qu’il a pour moi ? ^ Ah I qu’il en fasse an sonnet, il les bit si bien... ça la^^nsolera. Je ne repr«tte qu’une chose, c’est de ne pouyoir lai en donner le titre : « A celle qui n’est pas venue... » et qui ne viendra jamais l — Neuf heures un quart. (ffUe tm regarda saottreM.) Toujours la ueigo 1 — Je vais me léshabiller, demander pardon à Dieu en priant pour ceux qui ont froid, me COacher (RDTtynt an baum aa partnlt d’hooma.) et dormir à vous, mOUSienr, (S’adfaHaataaportmt defMima.) SOUS ton œil, ma mire^ Et qae celle d’entre- vous qoin’a jamais chancdé m» jette la première pîerraw fnrDV’L'ÀLLUVC»