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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/250

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LE COMMENCEMENT DE LA FIN 239 SCÈNE II GONTRAN, BAPTISTE. BAPTISTE, coiffé d’un bonnet de ootoo, lei denz jvax pockéf , entrant par le fond. Monsieur a sonné ? CONTRAN, derrière les rideau. Voilà vingt fois que je te sonne. BAPTISTE. Je n’ai pas entendu... Monsieur Toudra bien m’excuser. GONTRAN. Je ne t’excuse pas le moins du monde, (ii sort de derrière let rideau. — 11 Toit Baptbte de dos.) Qu’oSt-CO qUO C’OSt qUO CeltC te«  nue ?... En bonnet de coton ! BAPTISTE. C’est que... GONTRAN, le roymat de &«. Et ces yeux !... Monsieur Baptiste, vous vous ôtes battu comme un chiffonnier, je vous chasse... BAPTISTE. Mais... c’est monsieur Patinais... CONTRAN. Patinais ? BAPTISTE. Oui, monsieur^ c’est lui... quand je lui ai dit que ce qu’il voulait faire était absurdéi GONTRAN. Comment cela ?