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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/251

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/^ t40 LE COMMENCEMENT DE LA FIN • BAPTISTE. Oui, monsieur... et comme je lui répétais que je ne pouvais pas voir cela... il m’a dit : « Eh bien ! je vais te fermer les yeux... » et voilà ce qu’il a faiti Il montre ses yenz pochés. CONTRAN. Mais alors, ce coup que j’ai sur la joue... ? BAPTISTE. Ohl çà n’est pas lui qui... GONTRAN, iat. Cest Léontiûe, parbleul... le dépit de ce que je la quitte. BAPTISTE. Ohl non, monsieur... elle a dit qu’elle s’en fichait pas mail CONTRAN, yexé. C’est touchant I... Qui donc alors ? BAPTISTE. . Je ne sais pas !... mais quand je suis entré dans la chambre de monsieur... j’ai trouvé monsieur, là, étendu à côté de son lit. CONTRAN, à part, montrant son lit. . Ahl... j’y suis... J’aurai mal pris mon élan pour le saisir dans son voyage autour de ma chambre. BAPTISTE. Monsieur a dit ? CONTRAN. Rien. BAPTISTE. Alors, j^ai fait prendre un peu de thé à monsieur, maigre monsieur Patinais qui prétendait qu’il fallait vous poser des sangsues.