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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/75

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64 LE NEVEU DE LA MARQUISE puis rien pour vous. Allons, croyez-moi, monsieur, partez, partez... (elle entr’onyre ht porte qui condnit à rontichambre.) partOZ I. .. ROGER. Non I pas avant que tu m’aies dit qui est ta maîtresse. LISETTE. Mais que vous importe ? vous ne voulez pas Tépouser, je •nppose ?... ROGER. Peut-être. LISETTE. Joli mari, par exemple, et d’une tenue bien engageante !... ROGER. Voyons, encore une fois, Lisette, sois-moi propice I Dismoi qui est ta maîtresse. Est-ce une princesse ?... LISETTE. Peut-être, vous répondrai-je aussi. ROGER. Est-ce une comédienne ? * LISETTE. Oh l . . . vous n’y êtes guère !... ROGER. Tu me mets au martyre, Lisette ! (ii id prend let deu maim et lei couvre de baisers.) Laisso-toî attendrir, ma petite Lisette, et ta fortune est faite. LISETTE. Ah ! que vous êtes amusant, monsieur !... Ainsi, parce que je ne suis que Lisette, vous croyez que pour un peu d’amour et un peu plus d’argent, je vais vous servir, aus dépens de madame qui est bonne pour moi, auprès de laquelle je suis depuis longtemps, qui me témoigne de l’a-