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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/97

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86 LBS LILAS BLANCS défaillir ! (E11« tombe assÎM. •— On frapp« de noQTefta. — Vime Toiz affûbliB.) Entrez 1 SCÈNE II CEGILËy JULIA. SHe entre par la droite. — Toilette de soirée, un boaqiwr à la maie. GÉGILBy raperoerant, abasourdie. Toi ici !... que l’arrive-t-il ? JOLIAy s’asseyent à <^t6 d’elb) sur le sofa. C’est à moi qu’il conviendrait de t^adresser cette question ; ta es pâle comme un lis et tes mains brûlent. Qu’as ;-tu ? CÉCILE. Presque rien.- une simple contrariété. JUUA. Est-ce sérieux ? GÉGILB. Je le crains. JITLlAy tendrement. AU temps heureux de notre enfance, j’étais ta confidente, je partageais tes joies et tes peines, je te consolais quelquefois ; pourquoi n’en serait-il plus ainsi aujourd’hui ? GBGILl, Tu as raison, je vais tout de dire... Tu t’es, sans doute, aperçue que Gaston s’a fait quitter ton bal de très-bonne heure ? JULIA. En effet ; tous mes invités Tout remarqué. CiCILB, s’animent par degrés. Comme tu dois le penser, cette brusque sortie avait un motif