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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/98

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LES LILAS BLANCS ^ JULIA. Qael motif ? CÉCILE, indignée. Monsieur, mon mari me trompe, ma chère. JULIA. Comment 1 . . . Gaston ?. . . GÉGILB. Oh I j’en suis convaincue I... C’est pour aller rejoindre sa maîtresse qu’il m’a ramenée... Il languissait probablement de la voir... Elle lui avait donné rendez-vous, et comme feu le roi-soleil, à cause de moi, elle a failli attendre !... (atoc des lannes dans la roiz.) Âprës hult mois de mariage, conçoit-on cela ! JULIA, moqueuse. Regarde-moi donc en face, grande enfant que tu es. CÉCILE. Non, j’aime mieux pleurer : les larmes soulagent. JULIA. G’est que, précisément, j’ai la prétention de les tarir, ces fameuses larmes. GBGILE. N’essaye pas de me dissuader, ce serait peJAe perdue. JULIA. Yeux-tu que je te dise où il est, en ce moment, ton gueux de mari ? OÉGILE. Tu le sais ? JULIA, fiieinent. £$t-ce <itte je ne nîs pas tout !