Cette page a été validée par deux contributeurs.
300
LE PREMIER FEUILLETON
gnotées du bout des dents. Pour moi, j’ai fait comme vous faites aux grands jours des premières représentations ; je suis sorti en toute hâte, d’un air mystérieux et comme un Animal de bon sens qui en sait plus long qu’il ne veut en dire. D’un air calme, posé, sentencieux, je suis allé me promener dans la basse-cour qui est le foyer du théâtre ; et dans cette basse-cour, j’ai rencontré toutes
sortes de Bêtes puantes, d’Animaux hargneux qui se promenaient d’un air rogue et pédant : des Chiens enragés,