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dant que vous étiez encore avec nous, qui fût propre à fixer sur lui l’attention. Votre observation me semble juste ; mais quelle occasion avait-il alors de se distinguer ? Le prince n’avait pas eu besoin de ses talents ; le hasard seul nous les a fait connaître.
Dernièrement encore, il nous à donné de son dévouement une preuve qui paraîtra décisive. On observe le prince ; on cherche à se procurer des renseignements sur sa manière de vivre, sur ses connaissances et ses relations. Je ne sais ce qui peut exciter cette curiosité, mais voici ce qui est arrivé.
Il y a dans un quartier de cette ville une maison publique où Bion-