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Page:Schiller - Le Nécromancien ou le Prince à Venise, tome second.djvu/53

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ment il en était bien temps, direz-vous. Pardonnez-moi, mon cher comte d’O***, cette immense lettre. Vous m’avez demandé des détails sur tout ce qui concernait le prince ; j’ai cru devoir y comprendre sa philosophie morale. Je sais que l’état de son âme vous intéresse, et que sous ce point de vue aucune de ses actions ne peut vous être entièrement indifférente. Je vous parlerai, dans ma première

    bien exercé, et que d’ailleurs il doit ménager ses aveux, ses observations et ses réponses sont plus propres à affermir le prince dans le triste système qu’il défend, qu’à en dissiper l’illusion.

    Note du Traducteur.